Good Work Done Better se concentre principalement sur les organisations locales et régionales qui offrent directement de l’aide pratique et de l’attention aux groupes de personnes vulnérables. Le livre remet en question de nombreuses approches pratiquées par un grand nombre « d’organisations charitables » ainsi que les donateurs et les parties prenantes qui subviennent à leurs besoins.
Les citations clés du livre :
Les citations clés du livre :
La pauvreté, la discrimination, la privation de droits, la déconnexion et la dépendance sont comme des voleurs. Elles laissent une traînée de victimes et causent des dégâts collatéraux.
Chaque personne est précieuse, même si on lui a volé sa dignité ou si elle a fait une série de choix sous-optimaux.
Les organismes communautaires à but non lucratif ont tendance à travailler au milieu du problème, plutôt que de travailler sur le problème. Les solutions du 19ième siècle sont souvent proposées pour répondre aux besoins du 21ième siècle.
Les bonnes intentions ne se traduisent pas toujours par des actions appropriées. Les nobles efforts ne se traduisent pas nécessairement par des améliorations. Des personnes bien intentionnées, sous-équipées ou non qualifiées, peuvent faire beaucoup de dégâts en essayant d'aider.
Il n'est pas logique de créer un système de réponse massive pour résoudre un problème qui pourrait être réglé plus en amont.
L'impact des organismes communautaires à but non lucratif a souvent été limité à un effet « patch » parce qu'ils sont toujours en train de répondre à la demande de « patchs ».
Historiquement, nous qualifions les échecs et le manque d’efficacité des organismes communautaires à but non lucratif d’inévitable ou complètement excusable. Une fois qu’il devient acceptable d’être quelque peu médiocre dans un domaine, il est encore plus facile de se convaincre que la médiocrité est la seule issue possible.
Une grande partie de l’argent et des ressources provenant de donateurs sert à financer des projets incompatibles, et cela donne lieu à des résultats non optimaux. Plus d’activité ne veux pas dire que les objectifs sont atteints ou qu’une situation inacceptable s’améliore.
Les donateurs ne doivent pas faire des dons simplement parce qu'un organisme en a besoin ; ils doivent donner parce que l'organisme est capable de répondre aux besoins insatisfaits des personnes qu'il sert.
Un véritable leader doit être prêt à servir la cause. Il n’incarne pas la cause.
Pour qu’une organisation puisse changer, il faut nécessairement que ce changement inclut le conseil d’administration. Parfois il faut que le conseil d’administration soit à l’origine de ce changement. La transformation d’un organisme communautaire à but non lucratif doit comprendre une véritable reconfiguration de l’approche à la sélection du conseil d’administration et à la gouvernance.
Ce livre invite les organismes communautaires à but non lucratif de cesser de simplement faire de bonnes actions et de réfléchir à comment ils peuvent faire ses bonnes actions de la bonne manière. Que se passerait-il si les organismes communautaires à but non lucratif essayait de se rendre obsolètes?
Les partenariats stratégiques, les fusions et les couloirs de référence peuvent aider les organismes communautaires à but non lucratif à gagner du terrain grâce à une capacité accrue. Le fait de travailler ensemble contribue à l'obtention de meilleurs résultats. Il ne s'agit pas d'être grand ou petit, mais de devenir plus efficace et d’innover.
Les donateurs et les organismes de financements doivent être encouragé à concevoir de leur don comme un partenariat qui aide au développement d’une solution plutôt que d’y penser comme une simple somme d’argent qui permet de continuer une activité spécifique.